Question
RÉÉCRITURE Réécrivez ce passage au discours indirect. Vous devrez parfois ajouter des verbes de parole.
" M. Zaremba souhaite épouserla mère du narrateur, mais n'ose pas aborder le sujet directement. Il y a une chose, Nina, dont je tenais à vous parler depuis quelque temps déjà. Il s'agit de votre fils. Je vous écoute. Ce n'est jamais bon je dirais même que c'est dangereux d'être fils unique. On prend ainsi l'habitude de se sentir le centre du monde, et cet amour qu'on ne partage avec personne vous condamne plus tard à bien des déceptions. Ma mère écrasa sa gauloise. Je n'ai aucune intention d'adopter un autre enfant, répliqua-t-elle sèchement. Je ne songe is rien de ce genre, voyons murmura m.zaremba."
" M. Zaremba souhaite épouserla mère du narrateur, mais n'ose pas aborder le sujet directement. Il y a une chose, Nina, dont je tenais à vous parler depuis quelque temps déjà. Il s'agit de votre fils. Je vous écoute. Ce n'est jamais bon je dirais même que c'est dangereux d'être fils unique. On prend ainsi l'habitude de se sentir le centre du monde, et cet amour qu'on ne partage avec personne vous condamne plus tard à bien des déceptions. Ma mère écrasa sa gauloise. Je n'ai aucune intention d'adopter un autre enfant, répliqua-t-elle sèchement. Je ne songe is rien de ce genre, voyons murmura m.zaremba."
Asked by: USER9133
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bonsoir
c'est la promesse de l'aube ça ?
Mr Zaremba déclara à Nina qu'il tenait à lui parler depuis quelques temps déjà,précisant qu'il s'agissait de son fils .Nina répondit qu'elle l'écoutait. Il ajouta qu'il n'était jamais bon,et même que c'était dangereux d'être fils unique. Il indiqua qu'on prenait ainsi l'habitude de se sentir le centre du monde,et que cet amour qu'on ne partageait avec personne nous condamnait plus tard à bien des déceptions . la mère écrasant sa Gauloise, répliqua sèchement qu'elle n'avait aucune intention d'adopter un autre enfant .Mr Zaremba murmura qu'il ne songeait à rien de ce genre
c'est la promesse de l'aube ça ?
Mr Zaremba déclara à Nina qu'il tenait à lui parler depuis quelques temps déjà,précisant qu'il s'agissait de son fils .Nina répondit qu'elle l'écoutait. Il ajouta qu'il n'était jamais bon,et même que c'était dangereux d'être fils unique. Il indiqua qu'on prenait ainsi l'habitude de se sentir le centre du monde,et que cet amour qu'on ne partageait avec personne nous condamnait plus tard à bien des déceptions . la mère écrasant sa Gauloise, répliqua sèchement qu'elle n'avait aucune intention d'adopter un autre enfant .Mr Zaremba murmura qu'il ne songeait à rien de ce genre